Der Mönch von Lützerath
Ich werde 1000€ spenden, für jede Person, die an diesem Tag wegen der Polizei im Krankenhaus war.
Weitere Informationen folgen bald.
After the repression, the response.
Keep up the fight, make the invisible visible.
Der Mönch von Lützerath
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Voici mon article Témoignage de la #Zad de #Sivens en #2014. TW : #violencespolicières #violencesdEtat
#RémiFraisse on oublie pas.
https://blogs.mediapart.fr/nadzieja/blog/230125/temoignage-dune-ancienne-zadiste-de-la-zad-de-sivens
Les mots de la fin, concernant la provocation et les violences policières :
"... on embarque des gens qui n'ont rien fait, franchement c'était l'Anarchie."
Et bien non, camarade teufeur, ce n'est pas cela l'Anarchie.
[Vidéo] Passé à tabac lors d'une rave party : il témoigne des manipulations policières
« Plaqué au sol » et « martelé de coups » par la gendarmerie mobile alors qu’il tentait d’établir le dialogue lors d’une rave-party le 12 mai 2024 à Parnay, dans le Maine-et-Loire, Pablo Caron a vécu quatre mois sous contrôle judiciaire……
https://www.blast-info.fr/emissions/2024/passe-a-tabac-lors-dune-rave-party-il-temoigne-des-manipulations-policieres-M0P6rmPzQwKcvtA_kyCrNQ #Justice #Violencespolicieres
Signalement n°7727
#Paris : Coup de matraque à la tête, contre un manifestant dos à lui. Il est blessé au front. Emploi de la force disproportionné.
— #1erMai • Bd Beaumarchais • Adrien AdcaZz #ViolencesPolicieres
Affaire Legay : l'histoire du document qui a fait condamner le commissaire de police
Par Michaël Hajdenberg, coresponsable du pôle Enquête de Mediapart.
C'est une première. Le commissaire Rabah Souchi a été condamné le 8 mars à six mois de prison avec sursis. C'est lui qui avait ordonné en 2019, à Nice, la charge ayant causé de graves blessures à la militante pacifiste Geneviève Legay, lors d'une manifestation.
Fait exceptionnel : le policier qui a renversé la septuagénaire n'a, lui, pas été poursuivi. Il n'avait fait qu'appliquer les ordres.
Mais sans un document récupéré par la journaliste Pascale Pascariello pendant son enquête, le commissaire Souchi ne se serait probablement jamais assis sur le banc des prévenus.
Pascale Pascariello a tout révélé dans cette affaire : les mensonges du commissaire, du maire, d'Emmanuel Macron ; les causes réelles des blessures de la manifestante ; l'enquête préliminaire biaisée (conduite par la compagne du commissaire).
Mais un élément a été décisif. Au cours de son enquête, Pascale Pascariello apprend de la part d'un de ses contacts gendarme que le jour des faits, un capitaine de gendarmerie à la tête d'un escadron de 60 hommes a refusé de charger et s'est opposé aux ordres du commissaire.
« D'abord je me méfie. On est toujours dans l'idée qu'il peut y avoir une guéguerre entre policiers et gendarmes. Mais je me dis surtout que les gendarmes notent tout, font des rapports. Et que si un capitaine s'est vraiment opposé, le compte rendu doit se trouver quelque part. »
Mais impossible de mettre la main dessus. L'affaire est ultra-sensible politiquement. Il faut être sacrément courageux pour oser prendre le risque de désavouer la police, le ministre et le président de la République qui se sont tous mouillés dans cette affaire.
Le contact de Pascale Pascariello a une capture d'écran. « Il me la lit, sans vouloir me la transmettre. Et puis ça ne suffit de toute façon pas. Il faut que j'aie le rapport entre les mains. Je sais que la hiérarchie policière est capable de démentir, d'enfumer, de faire corps et de contre-attaquer. Et puis si je suis poursuivie en diffamation, il faut que j'aie les preuves matérielles de ce que j'avance. »
La journaliste parvient à connaître le nom de l'auteur du compte rendu. Puis à obtenir son numéro de portable. Mais il refuse de lui répondre.
Pascale Pascariello, coincée, ne cesse alors de rappeler son contact initial. « Il décrochait et, avant même que je ne puisse parler, me disait : "Je sais : c'est pour le rapport..." »
Un jour, confie la journaliste, une de ses meilleurs sources policières lui a offert une édition ancienne d'un livre de Jules Vallès pour la féliciter de son travail tout en la moquant : « Vous nous avez par l'épuisement. »
En effet. De guerre lasse, son contact initial finit par la mettre en relation avec un gendarme très haut gradé, dont elle sait qu'il a été destinataire dudit rapport (et qui a donné son accord à la journaliste pour qu'elle fasse aujourd'hui part de ce rendez-vous sans le nommer).
Il sait ce qu'elle veut, lui donne rendez-vous dans sa caserne. « Vous n'avez qu'à sonner et vous annoncer. » La journaliste se désespère : quand on récupère un document sensible, c'est rarement dans un lieu aussi peu discret, au vu et au su de tous. « Et quand j'arrive, c'est encore pire : il me fait visiter la caserne, me présente à une chargée de communication. J'essaie de rester aimable et courtoise mais je me dis que je perds mon temps. »
Impression confortée quand elle pénètre dans son bureau feutré, fermé avec des doubles portes très épaisses, en cuir. « On va être clair. Vous venez pour la note, mais vous ne l'aurez pas. »
Pascale Pascariello se lamente : « Ben oui, maintenant que vous m'avez présentée à tout le monde... »
Le gendarme la détrompe : « Ça, ce n'est pas un problème. J'assume de voir Mediapart. Mais je ne voudrais pas attirer des problèmes au capitaine qui a refusé les ordres. Qu'on puisse croire que c'est lui votre source. Ou même le placer au centre de l'attention, ce qui pourrait lui être préjudiciable. Car ce qui est regrettable, poursuit-il, c'est qu'on ne soutienne pas de tels comportements. Quand un gendarme refuse un ordre illégal, on devrait l'encenser. Or c'est tout le contraire. »
La journaliste le travaille au corps, le fait parler du maintien de l'ordre en général. « Si ce n'est pas une copie, je peux au moins prendre une photo », retente-t-elle.
Rien à faire : « Non. Vous la recopiez, mot pour mot, et c'est tout. » Pascale Pascariello a alors recours à une technique bien à elle : « Je boude. Je dis : "Ben oui, je vais la recopier. Mais je me demande bien à quoi ça sert." Je souffle. Je note. Je rouspète. »
Et là, le gendarme s'excuse et se lève, quitte le bureau. « Je vous fais confiance. » La note est restée, elle. Sur le bureau. Devant Pascale Pascariello. « Je sais que les gens vont se dire : "Mais qu'est-ce qu'elle est bête Pascariello !" Ils vont se dire que s'il est sorti, c'est qu'il ne voulait pas voir ça, il ne voulait pas m'autoriser formellement à le faire, mais voulait que je la récupère. Il avait sûrement besoin de cette béquille psychologique pour franchir le pas. »
Mais la journaliste ne se lève pas pour s'en emparer et la photographier. « J'ai mon téléphone dans la main. J'hésite. Je me dis qu'il m'espionne peut-être, qu'il peut y avoir une caméra, un piège, qu'il teste peut-être la confiance qu'on peut m'accorder. Et puis je ne comprends pas : il a l'air franc, carré, courageux. Pas tordu. Dans ma tête, ça cogne : je le fais, je ne le fais pas ? Je le fais, je ne le fais pas ? »
Ses fesses décollent légèrement de sa chaise mais ses pieds restent scotchés au sol. « Il s'est peut-être absenté cinq minutes mais ça m'a paru très long. Et quand il a ouvert la porte je me suis mordu la lèvre et je me suis dit que j'étais vraiment trop bête. »
Le gendarme ne se rassoit pas : « Bon, je crois qu'on a fait le tour de la question, madame. » La journaliste se dirige vers la porte. « Et là, il me hèle : "Attendez ! Je crois que vous avez oublié quelque chose." Et il me tend la note. »
« Je me suis retenue de ne pas le prendre dans mes bras. J'étais tellement contente. Tellement admirative aussi. Il savait les risques qu'il encourait. »
Le gendarme lui explique : « Ma direction a la note mais va l'enterrer. Elle ne sera jamais transmise à la justice et personne ne saura jamais qu'elle a existé. Il n'y a que par vous que la vérité peut émerger. »
De fait, c'est la publication de cette note qui obligera l'IGPN, la police des polices, à questionner la responsabilité du commissaire. « Le fait qu'on sache qu'un capitaine de gendarmerie avait refusé d'appliquer cet ordre insensé de Souchi a changé l'orientation de l'enquête. Sinon, c'est le policier ayant heurté Geneviève Legay qui aurait été poursuivi », analyse la journaliste.
Près de cinq ans plus tard, le commissaire a donc été condamné. Et aujourd'hui, dans les écoles de formation de la gendarmerie, le cas Legay est étudié ; aux élèves, ces mots sont adressés : « Rappelez-vous que vous avez le devoir de refuser un ordre illégal ou disproportionné. »
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Signalement n°6620
Dimanche soir, un policier de la BRAV-M soulève une personne exilée et la frappe violemment contre le sol. 200 mineurs sans-abris venaient d'être expulsés, dénonce @Utopia_56.
— #Paris, Rue de Rivoli, 17 décembre, témoin
#ViolencesPolicieres
22/n Bilan provisoire de la répression des émeutes suite à l'assassinat de Nahel (Mediapart) : Mehdi, Abdelkarim, Jalil, Virgil, Nathaniel ont tous perdu un œil. Hedi a la tête fracassée. Aimène est dans le coma. Mohamed est mort dans des conditions encore troubles. #violencespolicieres
Gerne unterstützen wir den Aufruf von Justice4Mouhamed, kommt zur Demo!
"Liebe Freund*innen, liebe Mitstreiter*innen,
der Solidaritätskreis #Justice4Mouhamed ruft für den 12.08.2023 zu einer bundesweiten Gedenkdemonstration in #Dortmund anlässlich der sich jährenden Tötung Mouhamed Lamine Dramés durch die #Polizei auf.
Am 08.08.2022 wurde der 16-jährige Mouhamed Lamine Dramé von der Dortmunder Polizei erschossen, nachdem er weniger als eine Sekunde zuvor bereits mit einem Taser und davor Pfefferspray attackiert wurde.
Der aus dem Senegal nach Deutschland geflüchtete Mouhamed befand sich zu diesem Zeitpunkt in einer psychischen Ausnahmesituation. Er saß, sich ein Messer an den Bauch haltend, im Innenhof einer Jugendeinrichtung, welche aus Angst, er könne sich etwas antun, die Polizei rief. Der Einsatz endete tödlich."
Les forces de l’ordre françaises figurent parmi les plus mortelles en Europe: «On constate que le nombre des tués par la police française a doublé depuis 2020 par rapport aux années 2010.» #ViolencesPolicieres
Source: https://www.letemps.ch/data/en-graphiques-dans-quels-pays-la-police-tue-t-elle-le-plus
Interdiction de manifestations pacifistes, répression violente, justice instrumentalisée...
Après la mort de Nahel, la priorité politique du gouvernement est de ne surtout pas aborder la question des violences policières.
Source : https://www.bfmtv.com/police-justice/jamais-vu-ca-apres-les-emeutes-en-france-des-peines-tres-severes-prononcees-par-la-justice_AV-202307040860.html
#Nahel #Nanterre #Emeutes #ViolencesPolicières #Traoré #Manifestation
Pour financer la lutte dessinée https://ko-fi.com/allanbarte
Signalement n°6034
Violent coup de bouclier "gratuit" contre le journaliste Pierre Tremblay, le renversant à terre. Emploi de la force disproportionné et entrave à la presse.
#Paris 8 juillet, Source @index_ngo
#ViolencesPolicieres
Signalement n°6031
Ce lundi à Marseille, deux policiers violentent et malmènent, de manière dégradante, un homme menotté et coopérant. « Ferme ta bouche » lancé à un témoin.
#Marseille nuit 3-4 juillet, Source tiktok.com/@bf_artisan
#Nahel #ViolencesPolicieres
Signalement n°6028
À Marseille, un homme de 27 ans est tué après avoir reçu un projectile de « type flash-ball » (LBD) au thorax. L'impact aurait provoqué un malaise cardiaque, le faisant chuter de son scooter, selon les premiers éléments de l'enquête communiqués par le parquet.
#Marseille nuit 1-2 Juillet
#Nahel #ViolencesPolicieres https://www.lamarseillaise.fr/societe/a-marseille-un-homme-de-27-ans-mort-durant-les-emeutes-BF14447341
Analyse inexorable de la situation en France dans cette tribune du politologue Jean-François Bayart. La violence policière est le prix du retrait de l’Etat et de l'asphyxie de toute forme de contrepouvoir légitime (judiciaire, parlementaire, associatif, etc.). Dans ce contexte, d'une part l'extrême-droite occupe l'espace médiatique, de l'autre les forces de l'ordre n’ont cesse de s’affranchir des règles de l’Etat de droit. https://www.letemps.ch/opinions/on-sait-mieux-ou-va-la-france
#france #violencespolicieres #nahel
Macron va recevoir ce mardi les maires dont les villes ont connu des incidents ces dernières nuits. "Le président a prévu de leurs accorder beaucoup de temps", déclare l'Elysée. Des attentions auxquelles le maire de Saint-Brevin, victime de l'extrême-droite, n'aura pas eu droit. #Politique #Nahel #emeutes #manifestations #Macron #Maires #violencespolicieres
Le lien vers la cagnotte Leetchi de la maman de Nahel. Celle du policier qui a tiré sur le jeune homme, lancée par le faf Messiah, a recueilli plus de 700.000 euros, alimentée par les cadres de Zemmour, notamment. Je me dis que si je peux la faire connaître à mon humble niveau, n'hésitez pas à la partager. https://www.leetchi.com/fr/c/soutien-a-la-maman-de-nael-decede-ce-jour-a-nanterre-1608932?utm_source=copylink&utm_medium=social_sharing #Nahel #violencespolicieres #Cagnotte #Solidarite #Politique
Signalement n°6020
Ce vendredi, une voiture de police poursuit et impacte un piéton.
Cet usage du véhicule contre un piéton peut constituer une violence avec arme. Une autre personne, qui ne fuyait pas les policiers, est violemment attrapée et renversée au sol.
Villiers-le-Bel, 30 juin, https://www.tiktok.com/@sasou_b.y.b_
#Nahel #emeutes #ViolencesPolicieres
Signalement n°6014
« Arrête toi ou je te tire dessus ! Arrête toi ou t'es mort »
Belleville-en-Beaujolais 1er Juillet, Source témoin
#Nahel #ViolencesPolicieres